Ce titre n’est pas de moi. C’est celui du livre de Julie Bonnie.
Et j’ai su que j’allais l’aimer ce livre, tout de suite. Parce que c’est Clara Meyer qui m’a dit « ça va te plaire ». Et qu’il n’y a pas de meilleure critique qu’une amie qui vous dit « celui-ci, il est pour toi ».
Je n’aime pas ces fausses bonnes sélections de certains critiques littéraires ou journalistes qui auraient à peine parcourus le livre, qui n’auraient pû le goûter tellement ils en ont à dévorer. Mais quand même, je les lis ces lignes qui présentent une œuvre et que l’on trouve dans les magazines, journaux ou blog. Mais quand même, ça manque parfois de saveurs.
Alors que, quand Clara a parlé de ce livre depuis les ondes de l’Internet, je me suis vue avec elle à une terrasse de café comme si j’y étais, alors que ça ne nous ai jamais arrivées, et j’ai entendu les mots que nous nous échangions.
Et je l’ai commandé, reçu, ouvert et j’ai plongé dans cet univers qui pourrait être une ville que j’ai connue, et pourtant non. En tout cas, pas ces personnages. Ce ne sont pas des gens qui ont gravité autour de moi, pourtant j’ai aimé leur histoire cabossée. J’ai cru que je les voyais, qu’il me parlait, qu’on se croisait et qu’on partageait un bout de chemin ensemble. Une lecture facile, une écriture fluide et un sujet on ne peut plus difficile. Mais avec de l’Amour, beaucoup d’Amour. Ça en fait donc un livre que j’ai envie que vous puissiez glisser dans votre sac de voyage, votre valise, votre sac à dos, votre sac à main, à lire en tailleur dans l’herbe, adossé à un gros coussin dans votre lit, sur votre canapé, votre chaise de jardin, debout dans une rame de métro… ou à une terrasse de café.
Et voilà, hier, en allant déjeuner chez mon amie Cat, je suis arrivée avec mon exemplaire, pour lui prêter. Je suis sûre qu’elle va l’aimer. Surtout Blaise. On en reparlera, autour d’un café sans doute, ou lors d’une de nos balades beaujolaises.
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